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]]>Découvrez comment menttre en valeur son bien immobilier.
La concurrence se faisant rude actuellement, les acquéreurs sont bien plus regardants et méfiants. À vous donc de tout faire pour convaincre ceux qui recherchent un bien à acheter que c’est le vôtre qui est le mieux dans cette catégorie de prix et sur ce secteur géographique. Il faut faire en sorte que votre maison ou votre appartement séduise ses futurs propriétaires et pour cela mieux vaut être au top. Il faut proposer le meilleur rapport qualité/prix sur ce type de bien et dans un secteur géographique donné. Vous pouvez donc mettre un prix bien plus bas que celui du marché actuel et ainsi réussir à vendre en quelques jours.
Vous pouvez jouer aussi, sur la qualité ou du moins sur la qualité perçue par les acquéreurs. Dans un marché immobilier plus difficile pour les vendeurs, celui qui a un prix adapté et qui fait cet effort de valorisation de son bien n’aura aucune difficulté pour vendre. Il y a par ailleurs, la qualité des photos qui est rtès importante et qui peut pousser les clients à chercher plus d’informations sur le bien.
Un bien immobilier ça vieillit, ça se dégrade, ça s’use. Avant de le mettre en vente, il faut donc bien analyser ses défauts et les choses que tout acheteur va vouloir refaire s’il envisage son achat. En réalisant vous-même ces travaux bloquants avant de vendre, vous augmenterez le nombre d’acheteurs potentiels. Cela permet ainsi de faire tomber les barrières importants à la vente.
Vous pouvez également entreprendre des travaux qui permettront de valoriser un potentiel non utilisé. Vendre une maison avec des combles aménageables n’a rien à voir avec vendre une maison avec des combles aménagées. Dans le second cas les acheteurs peuvent directement s’y installer, le bien est vendu avec davantage de mètre carré et change même de catégorie d’acheteurs si vous rajoutez une ou deux chambres (et donc de budget). Étudier donc bien comment vous pouvez mettre en valeur votre logement en fonction de son potentiel. Chiffrez les travaux, par exemple, en demandant des devis gratuits et comparez le coût de ceux-ci avec la plus-value que cela donne à votre bien. Il existe de nombreuses aides pour financer des travaux de rénovation énergétique.
Il y a quelques efforts à fournir pour rendre votre bien immobilier le plus présentable possible. Corriger de petits défauts qui si chacun pris séparément n’empêche pas une vente, mais qui en s’accumulant laisse une mauvaise impression aux personnes qui vont venir visiter votre logement. Votre maison ou votre appartement contient sûrement moins de défauts et de choses à réparer ou refaire, mais cela n’empêche pas d’y prêter attention. Cherchez à mettre en valeur votre bien avec des efforts peu coûteux mais qui vous permettront d’obtenir une vente bien plus rapide et parfois dans de meilleures conditions financières pour vous.
Il ne servira à rien d’avoir un bien immobilier au top si votre annonce n’est pas soignée, ne réflète pas ou ne met pas en la valeur de votre bien. Avant que des acheteurs aient le coup de cœur pour votre maison ou votre appartement et fassent une offre d’achat, il va falloir les attirer pour qu’ils viennent visiter. Pour cela il existe différents moyens de communiquer sur sa vente. Ne vous contentez pas juste d’une annonce sur le site Internet le plus connu. Vous pouvez aussi demander l’aide d’un professionnel pour cela.
Il faudra notamment, sauf si vous passez par un professionnel, apporter toute votre attention à vos annonces immobilières. Cela passe par la réalisation de bonnes photos, un élément indispensable pour que votre annonce soit lue, et surtout par une excellente rédaction de la présentation de votre bien immobilier. Il faut que ces photos mettent en avant tous les efforts de renovations faites mais aussi votre appartement. Ces photos devraient donner envie d’aller visiter ce bien. Ces quelques efforts de valorisation de votre appartement ou de votre maison pourront faire la différence et faire que ce soit votre bien qui soit acheté et non les autres.
Dans le cas où vous aurez très peu de contacts ou de visites, vous pourrez consulter notre article sur » Les 16 idées pour une campagne marketing immobilière réussie ».
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]]>DECOUVREZ DANS CET ARTICLE :
La passion fera tout. C’est elle qui vous aidera à continuer même quand cela vous semblera difficile. Alors, si vous manquez de passion et de détermination, inutile de vous engager dans la course, car c’est un secteur hyper concurrentiel et intransigeant.
Un bon mandataire immobilier doit pouvoir associer l’aspect commercial au conseil. Il doit en effet pouvoir conseiller de manière efficace un acquéreur ou un vendeur.
Et pour que ses conseils soient précis et bien fiables, il faudrait qu’il ait une totale maîtrise des règles du jeu. Il doit pouvoir assimiler les aspects théoriques et techniques du métier. Ce qui va le rendre meilleur dans son domaine. Le miracle n’existe pas dans ce métier. Pour acquérir ce savoir-faire, une formation adéquate est plus que nécessaire. Autrement, c’est l’échec assuré.
Un mandataire immobilier a une zone géographique précise dans laquelle il travaille. Pour plus d’efficacité, il devra connaître par cœur son secteur.
Il devra aussi entretenir des relations personnelles avec la communauté de son secteur : les commerçants et les habitants. C’est un élément important pour accéder aux informations liées à son activité.
Avoir de la méthode permettra au mandataire de réussir son business. Un mandataire efficace adopte une démarche précise reposant sur une succession d’étapes à suivre : de la prospection de biens à l’aboutissement de la transaction.
Ne pas être méthodique risquerait de faire place au désordre et donc à la perte de la confiance du client.
Savoir écouter, c’est l’un des piliers du métier de négociateur immobilier. En effet, l’acquéreur ou le vendeur s’attend toujours à ce que le négociateur réalise son rêve.
Et qu’il soit vendeur ou acquéreur, le client a des désirs particuliers auxquels le négociateur devra être particulièrement attentif. S’il néglige l’écoute, il ne sera jamais capable de conseiller, ni d’orienter efficacement ses clients.
Un bon négociateur immobilier devra toujours faire preuve d’une véritable empathie et ne devra jamais oublier qu’on lui a confié le projet de toute une vie.
Unmandataire immobilier performant a toujours une solution. Il n’existe aucun problème qu’il ne puisse résoudre. Il doit pouvoir rapidement fournir des contacts si le client désire la mise aux normes de ses installations électriques ou réparer une cloison par exemple.
Un négociateur immobilier a un agenda très chargé. Ses tâches sont en effet multiples : la prospection, l’estimation d’un bien à vendre, l’organisation de la promotion du bien, les visites, le suivi des clients, etc. Tout cela nécessite par conséquent, une réelle capacité d’organisation.
La technologie devra être votre principal allié. Des outils comme les bases de données ou Internet sont désormais disponibles depuis ces dernières années et ont été conçus pour vous permettre de gagner du temps tout en étant efficace.
Un négociateur efficace assure un suivi régulier auprès de ses clients, qu’il s’agisse de vendeurs ou d’acquéreurs. Pour ce faire, il les contacte régulièrement et maintient une bonne relation avec eux pour entretenir leur confiance.
En parallèle, il doit veiller à ce que les biens pour lesquels il a obtenu un mandat soient toujours disponibles pour la vente. Pareillement, il doit s’assurer que les acheteurs potentiels soient toujours à la recherche d’un bien à acquérir.
Le manque de suivi de la part du négociateur met en danger sa notoriété.
Avant de vous lancer dans ce métier, assurez-vous que vous êtes capable de vous investir pleinement dans votre activité et donc de ne pas compter les heures passées au travail.
Un revenu élevé dépend essentiellement d’une grande disponibilité et d’un travail performant. Vous êtes libre d’organiser votre emploi du temps mais vous devez pourtant vous habituer à une allure de travail conséquente pour connaître le succès.
Vous souhaitez débuter dans l’immobilier ?
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]]>L’article TOUT SAVOIR SUR LE PARCOURS CLIENT IMMOBILIER est apparu en premier sur Promptimmo Le Blog.
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Le parcours client, c’est le cheminement emprunté par un prospect depuis la naissance de son besoin jusqu’à son passage à l’achat. L’intervalle de temps qui sépare ces deux points – la phase de maturation – varie en fonction du domaine concerné, du besoin et du contexte.
Tout l’objet du parcours client, en termes marketing, c’est de comprendre :
Saisir ces mécanismes, c’est savoir à quel moment et de quelle façon influencer la décision du futur client pour qu’il regarde du côté de votre agence immobilière ou de votre réseau.
Intéressons-nous aux trois premières étapes du parcours client. Choisissons un schéma avec une progression logique – problème, solution, choix final – et une cohérence implacable. Il s’adapte à la plupart des domaines du commerce, y compris l’immobilier.
Étudions ce parcours client immobilier type dans le détail.
Au tout début du parcours client dans l’immobilier, votre prospect vendeur réalise qu’il a un besoin.
Donnons un nom et une qualité à ce prospect : c’est Bertrand, propriétaire de sa maison dans une ville moyenne française.
Ce besoin, en substance, c’est : vendre son bien immobilier. Peu importe ses raisons. Il peut vouloir acheter plus grand, désirer se débarrasser d’un héritage encombrant, avoir un besoin pressant de trésorerie, craindre une attaque extraterrestre imminente… Le plus important, c’est que ce besoin existe désormais.
Que fait votre prospect ?
Comme 9 personnes sur 10, il va commencer son projet par une recherche sur le web. Il va naturellement aller consulter Google.
Que cherche-t-il ?
Des informations! Au début de son parcours client immobilier, il entend surtout glaner des renseignements clairs, précis et adaptés à son besoin.
Ça y est, le client s’est fait une meilleure idée de son besoin.
Ce qu’il cherche, maintenant, c’est une solution pour y répondre de la meilleure façon. Pour cela, il va alterner recherches sur le web et renseignements pris sur place, dans les agences de sa commune.
Par exemple, il tombe sur une série d’articles (publiés sur le blog d’une agence locale) donnant des indications sur le déroulement d’une vente immobilière, les différentes étapes, les moyens de s’y préparer, etc. Cela lui permet de mieux appréhender la problématique à laquelle il est confronté, les obstacles potentiels, les décisions à prendre pour bien mener sa barque, etc.
Cette étape du parcours client dans l’immobilier peut être longue – des mois, potentiellement des années. C’est normal : votre prospect veut vendre sa maison, pas un vieux barbecue à gaz. Son projet est déterminant : il veut être certain de trouver le bon professionnel.
Il va donc sélectionner des offres en vue de les comparer.
Bertrand est quasiment prêt.
À cette étape de son parcours client dans l’immobilier, il a défini clairement son besoin, trouvé la ou les solution(s) qui l’intéresse(nt), comparé les offres.
En somme, il n’a plus qu’à choisir.
Et pour ça, il va entrer dans le dur. Comparer les offres et les services des professionnels. Regarder de près les stratégies adoptées par chacun pour vendre des biens. Étudier les mécanismes marketing. Prendre en compte les tarifs, aussi – pas forcément pour choisir le moins cher, mais pour voir si l’investissement vaut la peine par rapport aux bénéfices attendus (rapidité des délais de transaction, vente au prix désiré, etc.).
Il va explorer les différents supports, aussi. Voir comment les professionnels se positionnent sur les réseaux sociaux, chercher des avis clients et des témoignages.
Bref, pour conclure son parcours client immobilier, il va d’abord s’assurer de faire le bon choix.
Ce parcours client dans l’immobilier, que l’on qualifie de « standard », rappelle fortement le cheminement Ikea.
Pour bien visualiser cette analogie, dessinez trois carrés accolés en donnant à chacun le nom d’une étape du parcours client. Et tracez une flèche qui les traverse en partant du premier et en sortant par le dernier.
Votre parcours client immobilier type, c’est le plan Ikea.
Votre prospect peut décider de prendre un raccourci (pour sauter de la première à la troisième étape) ou revenir sur ses pas pour quitter le labyrinthe. Mais c’est peu probable : une fois que le besoin est né, il n’y a pas de retour en arrière. Et ici, les raccourcis n’existent pas : on ne saute pas d’une case à l’autre, mais on peut, à la rigueur, les franchir beaucoup plus vite que la moyenne.
Pour autant, c’est toujours le principe du showroom : ce parcours est une opportunité de montrer à ce prospect ce que vous savez faire et ce que vous pouvez faire pour lui.
C’est d’ailleurs toute l’idée de base de l’Inbound marketing.
On va plus loin ?
Parce que, bien sûr, ce parcours client immobilier est un parcours standard. Il correspond aux 75 % du cheminement Ikea.
Mais pour l’adapter à vos besoins locaux, vous avez besoin de faire un peu plus que suivre le mouvement. Vous devez exploiter à fond les 25 % qui restent. Dans l’immobilier, ces 25 % sont déterminants : ils vous permettent de capter l’attention des prospects vendeurs locaux.
Et pour cela, vous avez besoin des leviers Inbound. Vous devez mettre en place une stratégie Inbound marketing d’autant plus efficace qu’elle est tout à fait adaptée à des enjeux locaux.
Voyons comment adapter ce parcours client dans l’immobilier à des besoins locaux. Et comment être présent à chaque étape pour capter l’attention des prospects.
Les trois premières étapes du tunnel de conversion répondent précisément aux besoins exprimés dans les trois phases du parcours client immobilier. C’est-à-dire :
La quatrième étape est du domaine de l’après – fidélisation, engagement, etc. –, tout aussi importante, mais hors-sujet ici. Elle correspond aux deux derniers points du premier schéma de parcours client que nous vous avons présenté : maintenir et recommander.
L’importance de l’Inbound marketing, ici, est cruciale.
En effet, cette stratégie est particulièrement adaptée au parcours client dans l’immobilier. Le principe même de l’Inbound, c’est d’attirer le prospect à soi en mettant en valeur son expertise et son savoir-faire.
À travers cette méthodologie orientée client (orientée vendeur dans le cas de l’immobilier), vous pouvez répondre aux besoins exprimés par le prospect tout au long de son parcours, jusqu’à l’ « aider » à prendre la meilleure décision possible – à savoir : vous contacter pour signer un mandat.
Les leviers marketing Inbound immobilier sont donc tout à fait adaptés au parcours client dans l’immobilier.
Reprenons les trois étapes :
Principalement en produisant des contenus adaptés, à publier sur votre site web et votre blog immobilier. Ces contenus doivent répondre aux besoins spécifiques de notre prospect-type, Bertrand : s’il cherche des infos sur la meilleure manière de vendre sa maison, il faut lui donner exactement ce qu’il attend.
Pour cela, vous aurez besoin :
L’équation est simple : quand Bertrand démarre son parcours client dans l’immobilier par des recherches, il doit tomber sur vos supports digitaux.
En étant présent tout au long de l’étape de conversion dans le tunnel Inbound immobilier, c’est-à-dire : en accompagnant Bertrand pendant sa recherche approfondie, par le biais d’une stratégie qui vise à maintenir le contact et à lui envoyer régulièrement des informations susceptibles de l’intéresser.
Cela implique de :
L’essentiel du parcours client dans l’immobilier, c’est la phase de maturation de Bertrand. Celle-ci peut être très longue. Une démarche Inbound permet de rester en contact et de faire mûrir progressivement le prospect, pour que votre marque immobilière devienne de plus en plus une évidence.
En montrant ce dont vous êtes capable dans la dernière étape du parcours client immobilier, de façon à convaincre et à pousser le prospect à se décider. Certes, il faut pour cela attendre qu’il soit mature ; mais il faut aussi être capable d’imprimer l’ultime secousse, celle qui va faire tomber les dernières barrières qui séparent Bertrand de sa prise de décision.
Ici, vous avez besoin :
Vous devez prouver par A+B à Bertrand qu’il a tout intérêt à vous faire confiance pour vendre sa maison. Qu’en passant par vos services, il est certain de trouver acquéreur dans les délais qu’il s’est fixé et à un bon prix.
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]]>Avec de bonnes pratiques en la matière vous serez à même de sauver de nombreuses situations.
Quel que soit le point de contact (téléphone, email, message privée sur Facebook ou même en face à face), lorsque vous avez affaire à un client insatisfait, ayez le réflexe de vous mettre dans ses baskets. Mettez de côté tous vos sentiments, même si c’est le client qui a commis une erreur.
L’étape la plus importante du traitement de l’insatisfaction, qui prévaut finalement dans toute relation, est l’écoute active de ce que votre client a à vous dire. Dès les premiers échanges, essayez d’instaurer une relation transparente et de confiance entre vous et votre client. Montrez-lui que vous êtes prêt à l’écouter vraiment. Engagez vous !
Si votre client voit que vous considérez son problème, que vous comprenez qu’il puisse être énervé, et que vous vous efforcez de trouver une solution… vous êtes sur la bonne voie pour renverser la situation.
Maintenant que vous avez tous les éléments en main, prenez le temps de reformuler les problèmes du client afin de lui montrer que vous l’avez écouté attentivement et bien compris. Si certains éléments vous ont échappé, le client pourra alors s’expliquer à nouveau et vous vous assurerez ainsi de pouvoir le satisfaire.
Utilisez des mots simples et objectifs. Par exemple, « Si j’ai bien compris, vous êtes contrarié car vous n’avez pas reçu votre commande dans les temps ».
Depuis le début de l’échange que vous avez avec votre client, vous vous efforcez de vous mettre à sa place. C’est le moment de lui montrer votre empathie, lui montrer que vous considérez et comprenez la situation.
Si vous êtes face au client, n’oubliez pas que votre corps communique également. Si vous êtes au téléphone, c’est également le cas : le sourire s’entend. Assurez-vous que votre communication non-verbale soit alignée à votre communication verbale. Dans la relation client, et plus particulièrement dans le contexte d’un client insatisfait, chaque détail compte !
S’il s’avère que l’insatisfaction du client provient d’une faute de votre entreprise, excusez-vous et proposez une solution qui le satisfera. N’oubliez jamais que vous êtes le représentant de votre entreprise. Si ce n’est pas de votre faute, excusez-vous également mais pas pour les mêmes raisons. Par exemple, « Nous sommes désolés d’apprendre que votre expérience dans notre magasin se soit mal passée ». Dans tous les cas, vous devez apporter une solution au client.
Vous pouvez, par exemple, lui offrir une réduction sur son prochain achat, lui offrir un cadeau, etc. N’hésitez pas à être créatif, il n’y a rien de mieux qu’un client surpris positivement. La start-up estonienne Sorry As a Service propose d’externaliser la gestion des mots d’excuses pour avoir une approche plus humaine. Certains clients ont pu recevoir des gâteaux avec un mot d’excuse écrit manuellement dessus, plutôt fort, notamment pour reconnaître ses erreurs.
Une fois que vous avez convenu d’une solution avec votre client, expliquez-lui les prochaines étapes pour le rassurer. Engagez-vous sur des dates. Le client déteste entendre « nous reviendrons vers vous dans les plus brefs délais / dès que possible ». Selon les cas de figures, n’hésitez pas à réaliser un suivi à court-terme. Faites-en sorte que votre client soit réellement satisfait de votre solution.
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]]>Découvrez quelques idées pour arrêter de procrastiner en cette belle et nouvelle année :
La procrastination n’est pas une affaire de gestion du temps. C’est un problème émotionnel. On ne repousse pas à demain à cause d’un planning trop chargé ; on le fait pour se sentir bien, c’est une question de choix. Cette mise sous pression est volontaire.
Si vous avez compris ça, alors vous savez qu’acheter un agenda ou installer un outil de gestion du planning sur votre ordinateur ne risque pas de changer grand-chose.
Quand vous procrastinez, vous effectuez une tâche. Le seul problème, c’est que vous ne faites pas ce que vous étiez censé faire à la base, et qui aurait eu plus d’impact positif sur votre business immobilier. Un agent immobilier est toujours en train de faire quelque chose, mais pas toujours la bonne chose.
La solution passe par une question toute simple :
« Serai-je plus motivé pour effectuer cette tâche demain ? »
Dans 99,9 % des cas, la réponse est non. Si vous souhaitez laisser une tâche pour le lendemain, c’est qu’elle ne vous motive pas. Et si elle ne vous motive pas aujourd’hui, il y a peu de chances pour qu’elle le fasse demain. D’autant plus que, demain, il y aura d’autres tâches que vous n’aimez pas effectuer non plus…
Évidemment, ces tâches toujours ajournées finissent par s’accumuler et par impacter votre business immobilier. Si vous repoussez constamment le moment d’aller prospecter, vous ne pourrez pas prendre de contacts, ni rentrer des mandats.
Alors, c’est simple : au lieu de vouloir faire demain, faites aujourd’hui. Faites maintenant. De toute façon, la même problématique se posera chaque jour !
Non, la pression n’est pas bonne pour votre business immobilier. Elle n’était pas bonne à l’époque de vos devoirs de lycéen ou d’étudiant. Elle n’était pas bonne quand vous faisiez vos premières armes dans le monde du travail. Et elle n’est toujours pas bonne aujourd’hui, alors que toute l’agence compte sur vous et sur vos compétences.
La pression, c’est l’ennemi.
Une bonne façon d’évacuer la pression consiste à se confronter aux tâches sans procrastiner, afin de ne pas les transformer en urgences.
Il se trouve que les tâches laissées à plus tard sont généralement les plus abstraites, celles que l’on peine à formaliser, et qui, pour cette raison, semblent plus complexes ou plus chronophages qu’elles ne le sont en réalité.
Par exemple dans le cas de la prospection, elle est très souvent la première victime de la procrastination au sein d’un business immobilier. La prospection fait peur parce qu’elle n’a pas de fin : il faut constamment aller chercher de nouveaux contacts à convertir en prospects.
Ici, c’est l’ampleur de la tâche qui fait peur – et qui pousse à remettre à demain ce qu’on aurait dû faire aujourd’hui.
Que faire ? Découper la tâche complexe en plusieurs petites tâches plus simples. Briser l’abstraction pour la rendre concrète : aujourd’hui, on va prospecter uniquement votre secteur, pendant trois heures, et essayer de prendre 10 contacts. Fixez vous des objectifs raisonnables qui facilitent l’action immédiate.
Tout bon procrastinateur vous le dira : on repousse à demain parce qu’on ne sait pas de quoi le « demain » en question sera fait. On maîtrise le « maintenant », mais pas le « plus tard ». Conséquence : tout ce qui n’est pas à faire immédiatement entre dans le domaine de l’inconnu, et l’inconnu, ça n’a rien de motivant.
Pour rompre définitivement avec la procrastination, vous devez, vous aussi, vous donner des objectifs, alignés sur ceux de votre agence, ceux qui matérialisent les ambitions de votre business immobilier.
Plus intimement, vous devez définir vos objectifs personnels. Que cherchez-vous à accomplir dans le domaine de l’immobilier ? Qui voulez-vous être ? Où vous voyez-vous dans dix ans ?
En liant ces objectifs aux tâches précises que vous vous refusez à effectuer aujourd’hui, vous parviendrez à briser le cercle vicieux de la procrastination.
Alors, bonne réflexion… Mais sans procrastiner !
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]]>L’article 16 IDEES POUR UNE CAMPAGNE MARKETING IMMOBILIERE REUSSIE est apparu en premier sur Promptimmo Le Blog.
]]>« Je n’ai pas besoin de marketing. J’ai une enseigne qui a pignon sur rue depuis des décennies. J’ai des clients bien installés, qui me font confiance. Chaque jour, mes agents font deux ou trois heures de prospection et rapportent des contacts. Pourquoi aurais-je besoin d’une stratégie marketing en immobilier ? »
Ceci est une explication qu’on a soit déjà entendu, soit déjà dit. Le succès d’une entreprise, quelle qu’elle soit, tient en grande partie à la qualité de la stratégie marketing déployée. Pourtant, elle n’est pas toujours bien utilisée. Personne ne conquiert un marché sans un minimum de préparation et ne peut la garder sans un miminum de fidélisation. Même le meilleur des produits ou des services ne pourra trouver preneur s’il n’est pas correctement proposé et vendu.
Il en est de même dans le domaine de l’immobilier. Alors , on pourrait se demander à quoi servira le marketing immobilier pour un mandataire ? Est-elle différente du marketing traditionnel ? En fait, le marketing est l’ensemble des actions, les techniques, les méthodes mises en place pour créer des liens, faire connaître, faire acheter et faire vendre nos produits ou services à des personnes. Donc le but du marketing, est de trouver les besoins de ces personnes, les analyser et leur proposer des services ou produits susceptibles de les intéresser et les posser à l’action. C’est de leur montrer « indirectement » qu’ils ont besoin de nous (services ou produits). Elle n’est pas différente du marketing traditionnel : elle aide à s’adapter à la demande des clients. Elle est aussi importante pour la pérennité de la reputation acquise d’une entreprise. Elle rendra votre prospetion plus eficace. Malheureusement, elle ne peut ne pas être efficace si les mauvaises méthodes, les mauvaises pratiques sont utlisées. Pour qu’elle le soit, il faut un plan, une stratégie : une campagne marketing.
Voici 16 idées qui vous permettront de mettre en place une stratégie marketing en immobilier concrète et fiable.
Tout aussi important : faites le point sur les habitants du secteur afin de dresser un portrait-robot de la population locale. .
Avant de proposer des analyses, vous devez poser un diagnostic, donc écouter ce que vos interlocuteurs disent et veulent? Il faut être attentifs à leurs besoinsLe marketing immobilier consiste précisément en cela : poser un diagnostic pour mieux traiter le problème.
Pour cela, il y a deux étapes à suivre :
Quel est but voulez-vous atteindre ?
C’est, là encore, une question essentielle en vue du déploiement d’une stratégie de marketing immobilier efficace. Vos objectifs marketing découlent directement de vos objectifs commerciaux : c’est en ayant une destination claire en tête que l’on peut réfléchir à la meilleure façon de l’atteindre.
Vous pouvez travailler deux types d’objectifs commerciaux :
C’est l’idée de distinguer votre enseigne immobilière de toutes celles qui existent sur le marché. Dans un secteur très concurrentiel, mais de présenter votre enseigne de manière à ce qu’elle soit plus attractive que les autres. Plusieurs leviers peuvent être actionnés pour y parvenir : la mise en valeur de la qualité des services proposés, l’originalité de l’approche, la démonstration de votre expertise dans votre domaine, et la capacité à fouler des territoires que vos concurrents délaissent.
Choisir les bons canaux correspondants à votre stratégie et à vos objectifs. La question est importante, car il n’y a pas « un » marketing immobilier, mais « des » façons différentes de faire du marketing. Installer des publicités géantes dans la ville ou appeler les prospects au téléphone à chaque heure de la journée – c’est un certain type de marketing. Surtout à l’heure où les canaux de communication se sont multipliés et qu’il est facile d’ignorer une annonce qui ne nous intéresse pas. Jouer la carte de la notoriété, personnaliser les échanges et créer les conditions pour que les prospects viennent à vous naturellement. Ce n’est qu’une fois votre stratégie de marketing immobilier choisie que vous pourrez préparer les ressources indispensables pour la déployer.
La prospection vise à tisser des liens, à se faire connaître des prospects, à donner un visage et une voix à votre enseigne. Elle permet de bâtir des relations privilégiées, et reste idéale pour aller de la prise de contact au rendez-vous.
Le marketing immobilier se concentre sur la communication et la notoriété. Il vise à installer votre enseigne dans le paysage, à développer des actions de communication, à créer une identité de marque, à créer et utiliser des supports et des ressources permettant d’imposer votre expertise, et à suivre l’évolution de vos prospects tout au long du parcours client. Le marketing immobilier ne vient pas avant ou après la prospection : il est présent tout le temps et partout.
Le suivi des prospects passe par la mise en place de plusieurs leviers :
Le suivi des prospects est au cœur de toute stratégie marketing immobilier réussie. Elle permet de savoir ce que deviennent vos prospects.
Malgré le développement des réseaux sociaux et autres messageries instantanées, l’emailing n’a rien perdu de sa superbe. Dans le cadre d’une stratégie marketing immobilier, c’est même un levier de communication absolument indispensable. D’abord, parce que les internautes continuent de solliciter l’email. Ensuite, l’emailing sert à tout. C’est un levier marketing immobilier, un canal de prospection, un mode de communication, une façon de garder le contact avec les clients existants, etc. Vous pouvez envoyer des emails promotionnels, des newsletters, des offres exclusives et exceptionnelles. Enfin, les emails sont une opportunité supplémentaire de convertir des contacts en prospects et des prospects en clients.
L’organisation d’événements liés à votre stratégie marketing immobilier est une démarche qui a de nombreux avantages. D’une part, les événements constituent un canal d’acquisition à part entière. D’autre part, le canal événementiel est particulièrement bien adapté aux nouvelles technologies.
Mille raisons peuvent vous pousser intégrer les réseaux sociaux à votre stratégie de mandataire immobilier. Les médias sociaux sont populaires et massivement utilisés. Certes, mais ces réseaux sont comme des territoires sur lesquels évoluent ceux qui pourraient bien devenir vos clients demain. Vous pouvez mettre au point des méthodes pour communiquer avec eux – méthodes qui s’avèrent particulièrement efficaces et payantes sur le long terme. D’autant plus que les plateformes sociales mettent à la disposition des professionnels quantité de fonctionnalités et d’indicateurs très précieux dans une perspective de marketing immobilier.
On parle d’ « animer » des comptes sociaux professionnels, pour ne pas qu’ils restent « figés ».
Vous avez certainement déjà entendu le terme «community management ». L’expression désigne l’activité de gestion de la présence d’une enseigne sur les médias sociaux, en publiant des posts avec régularité, en répondant aux commentaires et aux messages des utilisateurs, en partageant des informations, etc. Il s’agit de « faire vivre » ses comptes sociaux pour qu’il y ait constamment une activité dessus
À toutes les étapes du marketing immobilier, vous avez besoin de créer et diffuser des contenus.Il s’agit :
Quelle que soit votre manière de travailler, quels que soient les canaux d’acquisition que vous privilégiez, vous devez produire de nombreux contenus/supports et assurer leur bonne diffusion un peu partout.
Au-delà du marketing immobilier de communication, il y a tout un marketing de suivi et de conversion. Après tout, ce que vous voulez, c’est rentrer des mandats et augmenter votre chiffre d’affaires, n’est-ce pas ?
L’idée, c’est de pousser doucement vos contacts à laisser des informations les concernant, de manière à pouvoir les qualifier et les convertir en prospects.
Suite logique du point précédent : la conversion finale des prospects en clients. Tout l’objet du marketing immobilier, c’est d’aider votre prospect à prendre la décision qui le fera passer du statut de prospect (pourquoi ne pas signer ?) à celui de client (je signe !). Convertir vos prospects en clients, c’est cajoler votre plante pour qu’elle donne des fruits savoureux – et qu’elle en donne à intervalles réguliers.
La puissance de votre marketing ne s’arrête pas à la conversion. Le marketing va bien plus loin, puisqu’il dépasse la seule action de vendre ou d’acheter : il génère des ambassadeurs. L’ambassadeur marketing est une personne qui fait la promotion d’une entreprise, d’une marque ou d’un produit de manière spontanée, sans obligation aucune, sans rémunération, et sans retour sur investissement. Un marketing immobilier bien mené vous permet non seulement d’obtenir des clients, mais encore de pouvoir compter sur des ambassadeurs qui feront votre publicité. N’est-ce pas la promotion la plus efficace ?
Le secret d’un marketing immobilier réussi, c’est qu’il n’y a pas de performance sans indicateurs ni sans mesures. Vous avez donc besoin de sélectionner les bons indicateurs, ceux qui font sens dans le cadre de votre activité, et effectuer des contrôles réguliers pour savoir si vos actions de communication, de marketing et de prospection donnent des fruits.
Sinon, comment saurez-vous si votre stratégie est efficace ? Si vos canaux d’acquisition sont les bons ? Si votre argumentaire de vente fonctionne ? Si vous convertissez autant de prospects en clients qu’il est possible de faire ?
En conclusion le marketing immobilier n’est pas une obligation. Si vous voulez la mettre en place, cela vous prendra du temps. Mais cette démarche ne doit pas s’arrêter, car au bout de l’effort se trouve la récompense.
Par facilogi.com
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]]>L’article Tout savoir sur le statut de travailleur indépendant est apparu en premier sur Promptimmo Le Blog.
]]>Parfois désigné sous le terme « freelance », le travailleur indépendant est un professionnel dont la particularité la plus notable est d’exercer à son compte. Dénué de supérieur hiérarchique, il peut s’organiser en toute liberté, mais doit souvent redoubler d’efforts pour garder son activité à flot.
Plusieurs statuts permettent de développer une activité indépendante : l’entreprise individuelle et ses variantes, l’EIRL et la micro-entreprise ; la SASU et l’EURL ; et le portage salarial, qu’il est essentiel de différencier de l’intérim où le professionnel n’est pas autonome.
Le nombre de formalités et leur complexité dépendent grandement de la forme juridique choisie. Certaines, comme la SASU et l’EURL exigent par exemple la déclaration d’un capital social et la constitution de statuts, alors que d’autres, à l’image de la micro-entreprise, nécessitent très peu de formalités.
Plusieurs numéros d’identification sont associés à l’activité du travailleur indépendant. Attribués par l’Insee au moment de la déclaration de l’activité, le SIREN et le SIRET sont des numéros d’identification correspondant respectivement à l’entreprise et à ses différents établissements.
Délivrée par le greffe du tribunal de commerce, l’immatriculation au RCS (Registre du Commerce et des Sociétés) permet aux freelances exerçant une activité commerçante de prouver l’existence légale de leur activité. Précisons que l’équivalent du RCS chez les artisans est le RM (Répertoire des Métiers).
Enfin, le numéro de TVA intracommunautaire ne concerne que les entreprises redevables de la TVA.
Depuis 2018, le RSI a été dissout pour devenir la Sécurité sociale des indépendants. C’est auprès de ce régime que la plupart des freelances cotisent pour bénéficier de la prise en charge de leurs prestations sociales. Certains entrepreneurs indépendants, comme les dirigeants associés uniques de SASU ou les consultants en portage salarial sont toutefois affiliés au régime général de la Sécurité sociale.
Le régime fiscal auquel doit se conformer le travailleur indépendant dépend de son statut juridique. Si l’entrepreneur individuel est soumis à l’imposition sur le revenu (IR), ce n’est pas forcément le cas pour le dirigeant d’EURL ou de SASU qui peut quant à lui opter pour l’IR l’imposition sur les sociétés (IS), parfois avec quelques limitations. Ainsi, en SASU, l’IR n’est possible que pendant une période de 5 ans.
Tous les travailleurs indépendants doivent obligatoirement déclarer leurs revenus, quel que soit le statut juridique de leur entreprise, même si ces revenus sont nuls. Cette déclaration, qui peut être effectuée en ligne par le biais de net-entreprises.fr, peut être confiée à un mandataire (experts-comptables, centre de gestion…).
Certains travailleurs indépendants perdent parfois bien plus que le patrimoine relatif à leur activité, à la suite d’une erreur de gestion ou d’un préjudice causé auprès d’un client. Pour protéger leurs biens, les entrepreneurs individuels, qui ne sont pas dissociés de leur activité sur le plan juridique, peuvent réaliser une déclaration d’affectation des biens professionnels (option EIRL).
Autrement, indépendamment de son statut, aucun travailleur indépendant ne peut faire l’économie d’une assurance RC professionnelle.
Les professionnels qui créent ou reprennent une activité peuvent généralement bénéficier d’aides, qui peuvent dépendre de la nature de leur projet ou de leur lieu d’implantation. L’une des plus populaires, l’ACCRE, permet au freelance de bénéficier d’une exonération temporaire de cotisations sociales et de demander le versement d’une aide financière, qui prend la forme de l’ARCE.
La loi autorise un salarié à créer son entreprise, même si les termes de son contrat de travail peuvent grandement restreindre cette possibilité. Outre son obligation de loyauté envers son employeur, le salarié doit prendre garde aux éventuelles clauses d’exclusivité ou de non-concurrence qui peuvent également être présentes dans la convention collective de son entreprise.
Seul le régime micro-entrepreneur permet de ne payer aucune cotisation si le chiffre d’affaires est égal à zéro. Dans ce cas de figure, il perçoit quand même le remboursement de ses prestations de santé, mais ne peut pas bénéficier d’indemnités journalière en cas d’arrêt de travail. De plus, il ne peut pas varier de nouveaux trimestres pour sa retraite
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]]>986 000 transactions en 2017, 970 000 transactions en 2018, la barre du 1 000 000 de ventes immobilières dépassée en 2019. La profession de mandataire immobilier séduit de plus en plus de professionnels qui souhaitent exercer en toute indépendance. Les taux sont historiquement bas, les prix sont en train de monter et le nombre de transactions immobilière n’a jamais été aussi important! Tous les feux sont au vert!
Il convient tout d’abord de faire un point sur le marché immobilier en France fin 2019 afin de savoir où on en est le marché. Il conviendra par la suite de rappeler les principales missions et qualités requises afin d’exercer en tant que mandataire immobilier.
Avec plus d’un million de transaction en 2019, l’immobilier séduit de nombreux candidats. Le secteur de l’immobilier est porté par des taux d’intérêt qui ne cessent de chuter en matière de prêt immobilier. En juin 2019, ils sont passés sous la barre des 1 % pour des emprunts sur 20 ans. Et les primo-accédants notamment en profitent pour concrétiser leur achat. Les Français souhaitent acheter dans l’immobilier pour se constituer un patrimoine ou préparer leur retraite.
Les tendances immobilières actuelles confortent dans l’idée que devenir mandataire est une excellente idée. L’épanouissement professionnel au travers de l’indépendance fait partie des atouts de cette activité. Voici un zoom qui pourra vous aider dans votre décision.
Un mandataire immobilier qui souhaite réussir doit savoir que cette carrière professionnelle va lui demander du temps au démarrage pour apprendre son métier. La communication autour de son activité demande également un certain investissement dont il faut prendre conscience. Les réseaux de mandataires proposent des packs très avantageux et autrement plus faible que si vous deviez créer votre propre agence.
Si certains réseaux proposent de bonnes conditions de rétrocession de commissions, étudier leurs points forts et leurs points faibles sera indispensable.
En effet, si vous débutez, il sera préférable de vous diriger vers une structure qui vous proposera un accompagnement plus soutenu avec des formations. Ce genre de réseaux est très intéressant pour débuter et apprendre le métier.
Beaucoup de mandataires immobiliers expérimentés se tourneront vers des réseaux à taille humaine.
Une fois que le réseau a été choisi, l’implication doit être totale. Se montrer non professionnel ternit l’image du professionnel mais aussi de son réseau. Il est donc préférable de s’assurer d’être prêt afin d’avoir uniquement un impact positif pour son activité.
Dans la très grande majorité des cas il n’y a pas de bon ou de mauvais réseau. Ils proposent dans la plupart du temps les mêmes outils, les mêmes formations. Ce qui fera la différence est votre implication personnelle.
Avant d’aller plus loin, vous devez savoir que vous devez vous préparer à créer votre entreprise.
Avant de vous engager , vous devez avoir conscience des missions du mandataire immobilier :
– réaliser une prospection quotidienne pour dénicher des biens immobiliers à rentrer aussi bien en location qu’en vente-
– enrichir son portefeuille avec des propriétés diversifiées
– indiquer au vendeur le prix juste pour sa vente
– proposer des conseils commerciaux
-développer une stratégie de communication pour qualifier les acheteurs
-négocier pour faciliter les transactions entre vendeurs et acheteurs
-monter un dossier juridique pour le notaire
-accompagner vendeurs et acheteurs depuis le compromis de vente à la signature de l’acte authentique…
Enfin, pour pouvoir vous constituer une belle clientèle et surtout la conserver, vous devez développer une démarche de conseils. Votre disponibilité et votre loyauté seront les armes de votre réussite. En effet, le mandataire immobilier profite des recommandations de ses clients pour gagner de nouveaux mandats. Vous devez donc veiller à toujours faire la meilleure impression en offrant la meilleure prestation.
Devenir mandataire signifie prendre le temps de se former pour garder en efficacité.
Les connaissances juridiques sont notamment précieuses pour informer et conseiller nos clients. Nous avons en effet un devoir de conseil.
Devenir mandataire demande que vous passiez par la case formation. Vous devrez sans cesse chercher à vous perfectionner pour apparaître comme une référence sur votre secteur et faire la différence avec votre concurrence.
Des qualités personnelles doivent aussi être développées car elles sont essentielles à cette profession. Le côté relationnel est primordial pour réussir. Vous devez notamment développer votre capacité d’écoute et votre empathie qui vous seront utiles auprès de la clientèle. Vous devrez également faire très attention à vos émotions. En effet, une transaction immobilière est semée d’embuche, et notre ascenseur émotionnel peut être mis à rude épreuve. Enfin, les qualités classiques d’un commercial comme la ténacité, la persévérance vous seront très utile.
Après avoir analysé le marché sur des faits concrets (record de transactions en 2019, prix à la hausse, taux bas) les perspectives de 2020 semblent très prometteuses. Certes, il y a de grandes disparités sur le territoire en termes de prix et de volume de ventes, mais le marché est porteur, lancez-vous!
Prêt à devenir mandataire immobilier ? Découvrez ce que nos mandataires disent de PROMPTIMMO !
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]]>Quand on fait le choix de devenir indépendant, il est important de mettre toutes les chances de son côté. L’une des clés de la réussite, notamment lorsque l’on évolue dans le très concurrentiel secteur immobilier, réside dans la construction d’un réseau professionnel fort. Prendre le temps de le développer, en participant par exemple à des événements networking, c’est multiplier ses chances de satisfaire sa clientèle.
Étant amené à vous déplacer régulièrement dans le cadre de vos missions, attendez-vous à faire face à de grosses dépenses professionnelles. Pour les réduire au maximum, il est crucial de négocier la prise en charge de vos frais kilométriques au moment de contractualiser votre collaboration avec les agences immobilières.
Du fait de sa grande vivacité, le secteur de l’immobilier évolue très vite. Pour rester dans la course et être en mesure de conserver votre compétitivité face à des professionnels parfois très motivés, assurez-vous de bien travailler sur vos lacunes, et prenez soin d’entretenir vos compétences techniques et vos connaissances juridiques.
Les agences immobilières apprécient les négociateurs qui savent faire preuve de sérieux. Pour être certain de faire bonne impression, prenez le temps de renseigner au minimum votre profil sur LinkedIn, et faites attention à l’image que vous renvoyez sur Twitter, Instagram ou Facebook. L’objectif est que votre présence en ligne ne vous desserve pas !
Il n’est pas rare qu’un vendeur ou un acquéreur éprouve des difficultés à exprimer clairement ses besoins. Apprenez à écouter, mais aussi à découvrir les désirs profonds qui peuvent parfois se cacher derrière un silence ou une hésitation. C’est ainsi que vous serez en mesure de répondre efficacement aux demandes de vos clients !
Bien démarré son activité passe aussi par la formation !
Chez PROMPTIMMO la formation est gratuite et certifiante pour les mandataires du réseau.
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]]>L’article Méthode SMART : Fixez vos objectifs est apparu en premier sur Promptimmo Le Blog.
]]>Fixer des objectifs avec la méthode SMART vous aide à multiplier les chances de réussite de vos campagnes marketing immobilier. Elle vous permet de gérer efficacement votre équipe commerciale en fixant des buts précis qu’elle devra atteindre dans un laps de temps limité.
Pour faire court, il s’agit d’un sigle mémotechnique rappelant les 5 critères indispensables permettant de définir un objectif intelligent. Le « S » désigne la spécificité comme critère, le « M » signifie que votre objectif marketing doit être mesurable. La lettre « A » fait référence à un but atteignable et « R » signifie que l’objectif doit être réaliste. La dernière lettre « T » qui termine le sigle indique que l’objectif doit être temporel. Examinons de près à quoi tous ces critères d’objectifs contribuent-ils à donner de la pertinence à votre stratégie inbound de campagne marketing immobilier.
La définition de tout objectif marketing repose sur un ciblage précis. Chaque but doit répondre à une caractéristique précise correspondant à la cible visée. À chaque étape du parcours des leads dans le tunnel, votre stratégie inbound marketing doit vous permettre de prévoir des contenus spécifiques, adaptés respectivement à chaque profil de leads.
Pouvoir mesurer ses efforts, c’est s’assurer d’atteindre ses objectifs commerciaux dans les meilleures conditions. Une fois le compte à rebours lancé, il vous sera en effet utile d’évaluer, de contrôler et de suivre l’état d’avancement de vos actions commerciales pour vous assurer que les objectifs soient atteints dans la limite du deadline que vous vous êtes imposé. Ici, vous devez établir un seuil et vous servir de bons indicateurs clés pour déterminer le niveau à atteindre (ou la barre à franchir) pour faire le check-in de ce qui a été fait et de ce qui reste à réaliser.
On préfère parfois utiliser le terme « Ambitieux » au lieu d’ »Atteignable » pour formuler le terme « A » du sigle de l’objectif SMART. De toute façon, qu’il soit « Ambitieux » ou « Atteignable », votre objectif marketing SMART doit se placer au juste milieu. Il faudra placer la barre au bon niveau. Un objectif trop banal ne vous permettra pas de progresser. À l’inverse, vous risquerez de démotiver rapidement vos commerciaux en voulant à tout prix leur mettre sous pression. Vous l’aurez compris rapidement, votre objectif doit représenter un défi et être à la fois motivant.
Votre objectif marketing tient aussi compte de vos ressources (matérielles, humaines et techniques) et du contexte (le marché immobilier, l’environnement concurrentiel, les conjonctures économiques, les législations en vigueur…). Tous ces paramètres doivent être pris en compte pour donner un caractère « Réaliste » à votre Objectif SMART.
L’échéance fait revêtir un certain caractère d’urgence à votre objectif marketing ; vous incite à vous impliquer davantage dans sa réalisation. Ce dernier critère vous servira de force motrice dans la poursuite de vos objectifs. Les objectifs temporels peuvent être classés de deux sortes : périodiques et ponctuels. Les objectifs périodiques nécessitent l’atteinte d’une certaine performance de résultat à une certaine fréquence pendant un cycle de période déterminé. Quant aux objectifs ponctuels, ils sont fixés temporellement sans notion de répétition.
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